International : Les États-Unis ont tourné le dos au Conseil des droits de l’homme de l’ONU

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Port-au-Prince, le 20 juin 2018.- Les États-Unis se sont retirés du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, a annoncé mardi l’ambassadrice américaine auprès des Nations unies Nikki Haley, en qualifiant cette institution de « cloaque de partis pris politiques ».

L’ambassadrice américaine aux Nations unies sont…

« Nous prenons cette mesure parce que notre engagement ne nous permet pas de continuer à faire partie d’une organisation hypocrite et servant ses propres intérêts, qui fait des droits de l’homme un sujet de moquerie », a dit Nikki Haley.

Des réactions tous azimuts contre cette décision (avant cette annonce des Américains)

 

« Le retrait de l’administration Trump est un triste reflet de sa politique unidimensionnelle en matière des droits de l’homme. Comme le fait de défendre la critique des abus israéliens. Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a joué un rôle important dans des pays comme la Corée du Nord, la Syrie, le Myanmar et le Sud-Soudan, mais tout ce dont Trump semble se soucier, c’est défendre Israël. », a déclaré Kenneth Roth, Directeur exécutif de Human rights watch, a relaté Radio-Canada.

 

De son côté, l’Oxfam America s’est prononcé aussi en des termes très durs centre l’administration du Président américain, Donald Trump.

 

Cette administration doit savoir que la paix, la sécurité et la prospérité internationales sont renforcées lorsque les droits de l’homme et les libertés fondamentales sont respectés et protégés, a déclaré le président d’Oxfam Americs, Abby Maxman.

 

Aussi, a-t-il critiqué dans son intervention des prises de position du Président américain Donald Trump.

 

« Alors que les enfants sont arrachés des bras de leurs parents à la frontière américaine et que les survivants de la violence domestique se font dire que leurs souffrances ne méritent pas l’asile aux États-Unis, l’administration Trump semble avoir déterminé qu’elle a plus à gagner en démantelant les protections des droits de l’homme pour certains qu’en élevant la barre pour tous », a soutenu Abby Maxman.

 

Faut-il, aussi, signaler que le mandat des États-Unis prendra fin en 2019 audit Conseil.

 

Ils réclamaient que l’exclusion des États membres qui commettent de graves violations des droits de l’homme soit votée à la majorité simple et non aux deux tiers. Ils avaient aussi demandé un renforcement du processus de sélection des États membres.

 

Vant bèf info (VBI)

International : Les États-Unis ont tourné le dos au Conseil des droits de l’homme de l’ONU

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Port-au-Prince, le 20 juin 2018.- Les États-Unis se sont retirés du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, a annoncé mardi l’ambassadrice américaine auprès des Nations unies Nikki Haley, en qualifiant cette institution de « cloaque de partis pris politiques ».

L’ambassadrice américaine aux Nations unies sont…

« Nous prenons cette mesure parce que notre engagement ne nous permet pas de continuer à faire partie d’une organisation hypocrite et servant ses propres intérêts, qui fait des droits de l’homme un sujet de moquerie », a dit Nikki Haley.

Des réactions tous azimuts contre cette décision (avant cette annonce des Américains)

 

« Le retrait de l’administration Trump est un triste reflet de sa politique unidimensionnelle en matière des droits de l’homme. Comme le fait de défendre la critique des abus israéliens. Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a joué un rôle important dans des pays comme la Corée du Nord, la Syrie, le Myanmar et le Sud-Soudan, mais tout ce dont Trump semble se soucier, c’est défendre Israël. », a déclaré Kenneth Roth, Directeur exécutif de Human rights watch, a relaté Radio-Canada.

 

De son côté, l’Oxfam America s’est prononcé aussi en des termes très durs centre l’administration du Président américain, Donald Trump.

 

Cette administration doit savoir que la paix, la sécurité et la prospérité internationales sont renforcées lorsque les droits de l’homme et les libertés fondamentales sont respectés et protégés, a déclaré le président d’Oxfam Americs, Abby Maxman.

 

Aussi, a-t-il critiqué dans son intervention des prises de position du Président américain Donald Trump.

 

« Alors que les enfants sont arrachés des bras de leurs parents à la frontière américaine et que les survivants de la violence domestique se font dire que leurs souffrances ne méritent pas l’asile aux États-Unis, l’administration Trump semble avoir déterminé qu’elle a plus à gagner en démantelant les protections des droits de l’homme pour certains qu’en élevant la barre pour tous », a soutenu Abby Maxman.

 

Faut-il, aussi, signaler que le mandat des États-Unis prendra fin en 2019 audit Conseil.

 

Ils réclamaient que l’exclusion des États membres qui commettent de graves violations des droits de l’homme soit votée à la majorité simple et non aux deux tiers. Ils avaient aussi demandé un renforcement du processus de sélection des États membres.

 

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