32 ans après les élections du 16 décembre 1990, Fanmi Lavalas dépeint un tableau sombre du pays

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L’organisation politique Fanmi Lavalas se souvient de l’élection historique à la présidence d’Haïti, le 16 décembre 1990, de Jean Bertrand Aristide. 32 ans après, la formation politique dresse un constat alarmant des conditions générales du pays.

Port-au-Prince, le 16 décembre 2022.- La fin brutale, le 30 septembre 1991, de l’expérience démocratique issue des élections de décembre 1990, a basculé le pays dans l’injustice, la corruption à outrance et le désespoir économique de la majorité du peuple haïtien. C’est le constat dressé par le parti de l’ancien vicaire de l’église Saint- Jean Bosco, Jean Bertrand Aristide.

Le Kidnapping, l’insécurité, la misère, l’insécurité alimentaire, la cherté de la vie, les crimes économique et politique qui rythment le quotidien du peuple sont les résultats du coup d’État du 30 septembre 1991, estime cette structure politique.

Le Parti Fanmi Lavalas croit qu’on peut éradiquer les maux qui rongent la société. Pour ce faire, l’organisation politique, à travers une note, appelle à une transition de rupture capable de créer un climat sécuritaire propice à la réalisation d’élections démocratiques pour élire des dirigeants sensible aux préoccupations légitimes des Haïtiens.

Dr Marise Narcisse, Joël Édouard Vorbe, Agr Anthony Dessources et Dr Myrto Julien, sont entre autres, dirigeants de fanmi Lavalas qui ont paraphé cette note de presse datée du 16 décembre 2022.

Jean Allens Macajoux

Vant Bèf Infos ( VBI)