Les Nations Unies déplorent les brutalités policières envers les journalistes lors des récents événements

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Les Nations Unies à travers le Bureau intégré des Nations-Unies en Haïti (BINUH) condamnent les actes de répression des agents de police lors des récents événements dans le pays. Dans un communiqué publié le 14 février 2021, les Nations-Unies exhortent les autorités policières et les acteurs politiques à respecter la liberté de la presse et l’information.

Port-au-Prince, le 14 février 2021.- Les Nations Unies se disent inquiètes face aux actes de violences de certains policiers contre des travailleurs de la presse en plein exercice de leur fonction.

« Ces actes ont pour conséquence de limiter le droit à la liberté d’expression et d’accès à l’information », déplore le système des Nations Unies à travers le Bureau intégré des Nations-Unies en Haïti (BINUH).

Les Nations Unies condamnent les actes de répression des agents de police lors des récents événements dans le pays. Le communiqué publié le 14 février 2021 porte la signature de la chargée de la communication stratégique et informations publiques, Béatrice Nibogora. Dans celui-ci, les Nations Unies exhortent les autorités policières et les acteurs politiques à respecter la liberté de la presse et l’information.

La structure internationale appelle les forces de l’ordre à revoir leurs pratiques en matière de maintien d’ordre, et à se pencher sur les violences faites à l’égard des journalistes et autres acteurs de médias en vue de freiner les violations des droits de la presse en Haïti.

Par ailleurs, les Nations-Unies se positionnent en faveur d’une enquête afin de sanctionner les auteurs de ces odieuses dérives.

Vant Bèf Info (VBI).