Haïti/ Salaire minimum: L’organisation « FANM YO LA » demande à l’État d’assumer ses responsabilités

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L’organisation FANM YO LA dénonce les actes de brutalités policières enregistrés lors des mouvements revendicatifs des ouvriers de la sous-traitance. Cette structure plaide pour une entente entre les différents protagonistes impliqués dans ce dossier.

Port- au-Prince, le 23 Février 2022.- Le Collectif féministe haïtien pour la participation politique des femmes (FANM YO LA) dit suivre avec intérêt les mouvements revendicatifs des ouvriers de la SONAPI réclamant 1500 gourdes comme salaire minimum journalier. La manifestation est un droit que garantit la constitution à tout secteur qui veut faire passer ses revendications, rappelle cette structure de femmes dans une note de position.
En ce sens, Fanm yo la dit dénoncer les interventions musclées des policiers contre les ouvriers du secteur textile.

En effet, le Collectif féministe haïtien pour la participation politique des femmes demande à l’État et aux patrons des usines à la Société Nationale des Parcs Industriels de trouver une entente avec les ouvriers pour résoudre la crise du salaire minimum.

Jean Allens MACAJOUX

Vant Bèf Info ( VBI)