Haïti saigne, Corventina s’indigne

Getting your Trinity Audio player ready...

La situation sécuritaire en Haïti est chaotique. La mort rôde en plein jour. Chaque jour, des innocents tombent sous le feu des balles assassines. Port-au-Prince, la capitale, est sous le contrôle de gangs armés qui imposent leur loi. Sans destination précise, les habitants fuient la terreur de ces groupes criminels.

Conscientes de cette situation invraisemblable à laquelle la population haïtienne est confrontée, plusieurs personnalités — politiques, sportives, entre autres — ont exhorté les principaux acteurs impliqués dans cette vague de violence meurtrière à y mettre un terme.

Le cœur brisé, Melchie Daëlle Dumornay a publié une lettre ouverte sur ses réseaux sociaux pour exprimer son indignation face à l’insécurité généralisée qui frappe le pays.
« En Haïti, la violence frappe des innocents, et mon cœur se brise à chaque instant », a déclaré Corventina, bouleversée par la détresse du peuple haïtien.

La footballeuse internationale haïtienne lance un appel à mettre fin à cette violence qu’elle juge insoutenable et destructrice.
« Il est temps que notre pays soit libéré de la tyrannie qui l’étouffe et le maintient dans l’obscurité. J’espère qu’un élan de solidarité et de compréhension remplacera la peur par la confiance, et que la justice guérira les blessures de notre nation », espère la jeune étoile du football féminin, aujourd’hui joueuse à l’Olympique Lyonnais, l’un des plus grands clubs du monde.

En attendant l’avènement d’un havre de paix, Melchie D. Dumornay garde espoir.
« Notre aspiration est de retrouver le chemin de la vie que nous avons perdu, afin de reconstruire un avenir pour notre jeunesse, qui n’a connu que la peur jusqu’à présent », ajoute-t-elle, souhaitant que la raison et la compassion apaisent les cœurs meurtris et que la paix revienne sur nos terres.

Par ailleurs, la ville qui a vu grandir l’une des plus grandes promesses du football féminin mondial, Mirebalais, est actuellement prise d’assaut par les gangs armés de la coalition criminelle Viv Ansanm, une situation que la joueuse refuse de passer sous silence.

« Autrefois, mon pays rayonnait d’espoir et de culture, et ma ville natale, Mirebalais, était un véritable havre de vie. Aujourd’hui, la brutalité nous a privés de ce privilège : à Mirebalais, comme ailleurs, des familles entières sont contraintes de fuir leurs foyers, chassées par certains compatriotes qui sèment la terreur », déplore-t-elle depuis l’étranger.

Nombreux sont les Haïtiens vivant hors du pays qui élèvent leur voix pour réclamer la fin de cette spirale de violences. Certains sont désespérés, d’autres continuent de Haïti saigne, Corventina s’indigne

La situation sécuritaire en Haïti est chaotique. La mort rôde en plein jour. Chaque jour, des innocents tombent sous le feu des balles assassines. Port-au-Prince, la capitale, est sous le contrôle de gangs armés qui imposent leur loi. Sans destination précise, les habitants fuient la terreur de ces groupes criminels.

Conscientes de cette situation invraisemblable à laquelle la population haïtienne est confrontée, plusieurs personnalités — politiques, sportives, entre autres — ont exhorté les principaux acteurs impliqués dans cette vague de violence meurtrière à y mettre un terme.

Le cœur brisé, Melchie Daëlle Dumornay a publié une lettre ouverte sur ses réseaux sociaux pour exprimer son indignation face à l’insécurité généralisée qui frappe le pays.
« En Haïti, la violence frappe des innocents, et mon cœur se brise à chaque instant », a déclaré Corventina, bouleversée par la détresse du peuple haïtien.

La footballeuse internationale haïtienne lance un appel à mettre fin à cette violence qu’elle juge insoutenable et destructrice.
« Il est temps que notre pays soit libéré de la tyrannie qui l’étouffe et le maintient dans l’obscurité. J’espère qu’un élan de solidarité et de compréhension remplacera la peur par la confiance, et que la justice guérira les blessures de notre nation », espère la jeune étoile du football féminin, aujourd’hui joueuse à l’Olympique Lyonnais, l’un des plus grands clubs du monde.m

En attendant l’avènement d’un havre de paix, Melchie D. Dumornay garde espoir.
« Notre aspiration est de retrouver le chemin de la vie que nous avons perdu, afin de reconstruire un avenir pour notre jeunesse, qui n’a connu que la peur jusqu’à présent », ajoute-t-elle, souhaitant que la raison et la compassion apaisent les cœurs meurtris et que la paix revienne sur nos terres.

Par ailleurs, la ville qui a vu grandir l’une des plus grandes promesses du football féminin mondial, Mirebalais, est actuellement prise d’assaut par les gangs armés de la coalition criminelle Viv Ansanm, une situation que la joueuse refuse de passer sous silence.

« Autrefois, mon pays rayonnait d’espoir et de culture, et ma ville natale, Mirebalais, était un véritable havre de vie. Aujourd’hui, la brutalité nous a privés de ce privilège : à Mirebalais, comme ailleurs, des familles entières sont contraintes de fuir leurs foyers, chassées par certains compatriotes qui sèment la terreur », déplore-t-elle depuis l’étranger.

Nombreux sont les Haïtiens vivant hors du pays qui élèvent leur voix pour réclamer la fin de cette spirale de violences. Certains sont désespérés, d’autres continuent de croire que le pays renaîtra un jour de ses cendres.

Marc-Donald Livette
Vant Bef Info (VBI) le pays renaîtra un jour de ses cendres.

Marc-Donald Livette
Vant Bef Info (VBI)

Un commentaire

  • Didier Espérance

    * Le pays renaîtra un jour de ses cendres * Se vre men se pa jan nou pansel’ la, paske se yon kokennchenn netwayaj k’ap fèt laaa e sesi *a plizyè dimansyon* ( nan tout sans ) ki tou makonnen ak yon veritab triyaj . Menm jan lè pou Izrayèl te antre kanaran letènel te fè triyaj li dabò nan dezè-a, kote anpil ladan yo te mouri * pa bann ak pa vagon * se yon pèp ki bay pwoblem menm jan ak Ayisyen dayè Ayiti se nouvel Jerizalèm yo gen prèske menm tanperaman ak pèp jwif la . Letènel te di anpil ladan yo ap mouri nan dezè- a , paske yo pap mete zago yo nan repo li prepare-a , menm Moyiz ki te pran poz sansib li , pran poz Avoka pep li pat antre kanaran paske Bondye tap detwi Izrayèl epi fe yon lot nasyon ak Moyiz men Moyiz la malerezman te gen foli bay Bondye konsèy poul pat detwi Izrayèl ou pa wè menm li menm li pat met zagol’ kanaran ? Tèlman Izrayèl te mouri nan dezè-a, se lè sa Moyiz te oblije ekri sòm 90 ki se premye sòm ki te ekri…

    Poun’ fini menm letènel sa ki fin kreye Izrayèl li te fe yon deklarasyon : * Pandan konbyen tan li nan mitan Izrayèl li mennen yon lavi degoutans , li viv avèk repiyans oubyen avèk * dégoût*

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *