Haïti : des syndicats d’enseignants soutiennent le choix de Georges Wilbert Franck comme nouveau ministre de l’Éducation
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Le Conseil présidentiel de transition et le Premier ministre Garry Conille s’efforcent de former le nouveau gouvernement. Certains secteurs expriment leur soutien à des personnalités qu’ils estiment capables de mettre à profit leurs compétences et leur expérience pour le pays. C’est dans cette optique que des syndicats d’enseignants encouragent le CPT et le PM à choisir le professeur Georges Wilbert Franck comme nouveau ministre de l’Éducation nationale.
Port-au-Prince, le 7 juin 2024 – Georges Wilbert Franck, normalien supérieur et spécialiste en didactique du français, dispose également de compétences en échanges et coopération culturelle internationale.
Avec 25 années d’expérience dans le secteur éducatif, plusieurs syndicats d’enseignants soutiennent son choix comme nouveau titulaire du MENFP.
Franck connaît bien le MENFP pour y avoir fait un bon parcours professionnel.
Son expertise permettra également de mieux aborder les revendications des agents éducatifs.
Il maîtrise tous les dossiers sensibles du ministère susmentionné, selon ces organisations syndicales parmi lesquelles se trouvent FENATEC, LINEH, GIEL et UNNOEH.
Georges Wilbert Franck a consacré toute sa carrière au service de l’éducation en Haïti.
Au MENFP, il est directeur de la Formation professionnelle (DFP) et membre du comité de pilotage de la réforme du curriculum de l’éducation.
Il a également participé à l’élaboration du programme pour le nouveau secondaire, ainsi qu’à la conception et l’élaboration des politiques de formation pour les enseignants et les directeurs d’école.
Jean Allens Macajoux
Vant Bèf Info (VBI)
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ASSEZZZ !!!!!!!!!!!!!
Il ne vous revient pas à vous de choisir le prochain ministre de l’éducation. Se faisant vous donnez l’impression d’être un petit groupe qui veut placer son monde de manière à pouvoir venir piller le pays à son tour. C’est la prérogative du premier ministre de choisir avec qui il veut travailler et à qui demander conseil. Si on veut vraiment du changement dans le pays il faut arrêter de lui pousser dans le derrière afin de placer vos pions. Seulement et seulement à ces conditions que le premier ministre deviendra imputable de ses choix et de ses actions .