États-Unis – Immigration : L’Administration Trump met des restrictions sur le droit de sol
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À partir du 29 octobre 2019, seront déclarés « Américains » tous les enfants nés sur le sol américain dont la mère est au pays depuis environ six (6) semaines, selon les nouvelles dispositions de l’Administration Trump.
Washington DC, le mercredi 5 août 2019.- Depuis plusieurs jours on en parle et cela devient l’un des sujets de discussion sur les médias sociaux. L’administration Trump a mis une restriction sur la nationalité dès la naissance des bébés nés sur le sol américain de parents étrangers et sur les bébés de parents américains nés à l’étranger.
Selon cette loi, pour que l’enfant obtienne la nationalité américaine, il faut que sa mère soit aux Etats-Unis depuis six (6) semaines avant l’accouchement. Autrement les enfants dont la mère est aux États-Unis d’Amérique depuis moins de six (6) semaines n’auront pas la nationalité américaine.
Cette mesure s’applique également sur les citoyens américains qui travaillent ou résident à l’étranger, puisque leurs projénitures qui, à partir du 29 octobre, seront nées à l’étranger n’auront pas la nationalité américaine. Et pour l’avoir, les parents seront obligés de rentrer aux USA pour remplir les formalités.
Cette mesure de l’administration Trump a déjà fait couler beaucoup d’encre et de salive. Pour certains, le président américain prend ces mesures à l’approche des élections dans le cadre de son combat contre l’immigration clandestine via les naissances d’enfants nés de parents illégaux et qui juissent du droit de sol. D’autres, par contre, pensent qu’il revient aux juges fédéraux de la Cour Suprême des USA de dire le dernier mot, juste pour dire que Donald Trump ne peut pas encore crier victoire …
Vant Bèf Info (VBI)