Assassinat de deux religieuses à Mirebalais : la Fondation LAKOUNSA exprime sa vive indignation
|
Getting your Trinity Audio player ready...
|
Cap-Haïtien, 9 avril 2025 – La Fondation LAKOUNSA a vivement réagi à l’assassinat brutal des sœurs Evanette Onezaire et Jeanne Voltaire, membres de la Congrégation des Petites Sœurs de Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus. Dans une note de sympathie, l’organisation exprime sa solidarité avec la congrégation endeuillée et réaffirme son engagement en faveur d’une Haïti plus équitable et pacifique.
Par la voix de son président, Walson Sanon, la Fondation a fait part de sa profonde consternation face à cet acte odieux. Les deux religieuses étaient engagées dans des missions éducatives et sociales, dédiant leur existence à l’accompagnement de la jeunesse haïtienne.
« Leur mort constitue une perte irréparable pour le pays. Elles incarnaient l’espoir et le combat contre la délinquance juvénile, et leur dévouement une source d’inspiration pour les générations futures », souligne la note.
La Fondation salue la mémoire des victimes et dénonce un crime qui s’attaque aux forces vives œuvrant silencieusement au développement du pays.
Dans sa déclaration, LAKOUNSA réitère sa volonté de lutter contre toutes les formes de violence à travers des initiatives concrètes en matière d’éducation, qu’elle considère comme un levier fondamental pour instaurer une société plus juste et fraternelle.
En partageant la douleur de la congrégation touchée par ce drame, l’organisation s’engage à perpétuer l’héritage des deux sœurs disparues, en redoublant d’efforts pour accompagner une jeunesse responsable et engagée.
Pour la Fondation, les Sœurs Onezaire et Voltaire laissent un précieux legs d’amour, de foi et de courage. Leur souvenir vivra à travers chaque acte de solidarité en faveur des plus vulnérables.
Enfin, LAKOUNSA invite la population à se mobiliser pour honorer leur mémoire et rejeter la normalisation de la violence dans la société haïtienne.
Jean Allens Macajoux
Vant Bèf Info (VBI)